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Livre d'or

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03/04/2013 10:06:48
Les fêtes pascales et leurs univers chocolatés m’ont ramenée, un certain 17 mars, jour où, pour la 2e fois, l’association "Gourmandises culturelles" invitait le poète Roland Halbert. Ce fut un "Chuchotement poétique" d'un autre genre, une saveur poétique, pourrions-nous dire. Ce dimanche-là, pas de guitare pour nous accompagner, mais un billet d’embarquement pour un voyage en pirogue - longue comme une galère - chargée de fèves de cacao et emplie d’Indiens. Nous avons rencontré Mayas et Aztèques, Conquistadores, Espagnols pour arriver en France, tout près du roi… Du Chocolat-rituel au Chocolat-privilège. Les mots « Cacao » et « Chocolat » ont dévoilé leurs sources, fortement appuyées sur des textes anciens, comme ceux du fils de Christophe Colomb. Je n’ai pas retenu tous ces périples, ceux des fèves, des hommes et du langage, ni des dates-jalons, mais j’ai encore en bouche le goût du meilleur cru du chocolat : "le criollo" de Guanaja. Ce jour-là, j’ai laissé tomber le carnet de notes pour tenir, tout au long de la dégustation, les curieux petits carrés noirs. En fin d’après-midi, nous avons eu le plaisir et l’étonnement de découvrir Le Chant du chocolat, trop lourd pour être tenu à bout de bras, travail titanesque que cette anthologie de 450 pages, toutes illustrées, dialogue entre Roland Halbert et Philippe Arnaud. Exemplaire unique, en attente d’édition. Ce fut un voyage étonnant, vivant, savamment orchestré ! Bravo et merci encore !
Clodine Bonnet
 
27/03/2013 12:21:37
J'aime beaucoup votre "Stèle pour Xavier Grall". Un poème plein de délicatesse comme je les aime : "Les palombes passent... / Je laisse la porte ouverte, / on ne sait jamais !" Merci de tout cœur,
Françoise Grall
 
10/03/2013 00:30:03
"Chroniques de l’éclair" : je ne pensais pas avoir une leçon de haïku et pourtant ! Le haïku dans la puissance et la légèreté de son esprit-éclair. Un avis sur la Vie, oui, je pensais, peut-être… et je l’ai eu, oui ! Mais jamais l’avis ne se fait indispensable : « Puissions-nous disparaître comme les fleurs de cerisier ! » L’avis se fait Vie et Mort. Ce livre ne parle que de ça, et de ce qui fait la différence là-dedans : l’amour. On retrouve ici le kamikaze, Dieu du Ciel et pourtant, enfant, toujours, vulnérable, réclamant l’amour de sa mère. « Je crois bien que vous n’aurez plus le loisir de raccommoder sans fin le bouton de ma manche… » On retrouve ici le kamikaze, Dieu du Ciel et pourtant, amoureux, toujours, vulnérable, réclamant l’amour de sa compagne. « Je pense à ton bouton rouge, à ta Porte royale, à ta Chambre chaude… » Ce livre mêlant habilement Vie et mort, haïkiste et kamikaze, est d’une telle intensité qu’il donne envie de voir défiler les saisons. Ne pas s’arrêter à 23 ans, "bel âge pour devenir le vent en personne". J’ai aimé, beaucoup, ce livre. J’y ai trouvé les grands maîtres du haïku : Bashô, Issa, Shiki, Santôka etc. J’y ai trouvé la Vie, la Mort, l’amour. L’humour, toujours. Mais aussi, cette aide à décrypter l’esprit japonais et le nôtre, occidental. J’y ai retrouvé le crescendo de la Vie. Comme un chocolat au piment rouge : le sucré et le feu soudain, envahissant.
Clodine Bonnet
 
06/03/2013 18:15:01
Merci Roland pour l'article sur SENGAÏ et pour les illustrations que vous offrez aux lecteurs de Ploc! Vous nous emmenez en terre poétique inconnue et pour ne point nous égarer, les allusions à Daumier servent de balise; vous relevez l'humour, le sens de la caricature, en Orient comme en Occident. Nous découvrons le trait subtil d'un peintre poète, d'un poète peintre. Bien à vous,
Marie-Noëlle HOPITAL
 
20/01/2013 21:48:09
Cher Roland, 2012 aura vu naître, puis paraître, notre ouvrage... dont je relis régulièrement l'avant propos. Je ne vous l'ai sans doute jamais écrit aussi clairement, mais il possède vraiment des qualités hors du commun : il est naturellement écrit avec un style d'une haute tenue, et il met magnifiquement en évidence, sans les déflorer, les mystères de la relation entre les différents arts présents. Je vous en remercie encore une fois. Ensuite, relisant le dossier de nos échanges, je constate avec effroi que je n'ai pas accusé réception du recueil "Le Fleuve et le Rocher". Même si mon année 2012 aura été difficile, je ne peux pas tout lui mettre sur le dos. C'est donc une négligence de ma part et je m'en excuse. Lors de sa réception, je m'étais dit que, à sa manière, votre livre utilise aussi le principe des ricochets multiples et de formes variées (évoqués ci-dessous). Il possède en plus des refrains visuels et des fulgurances météoriques...
Philippe Le Bihan, photographe