Livre d'or
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24/04/2025 09:30:40 |
Cher Roland,
Félicitations pour ce nouveau livre magnifique,
Je salue le travail de fourmi ((dix ans!...) déployé pour
la capture de tous ces papillons.
A nouveau séduite par les encres d'apparence enfantine
de Jule Simon.
Autant le livre pèse son poids de pages, autant
sa lecture apporte grâce, réflexion, science, ouvre l'espace,
et la journée s'en trouve allégée. Il renforce la
sympathie et l'admiration que j'ai pour cet insecte.
Chaque fois que j'en vois un, je ne le laisse pas filer
comme ça, il faut dire qu'il fait tout pour se faire
remarquer !
Merci d'avoir inclus mon haïku dans ce grand livre
et merci pour la dédicace.
Ce soir, des pâtes, des pâtes, oui mais des papillons.
Amitiés,
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Marie-Louise Montignot, haïkiste |
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02/01/2025 17:02:56 |
Cher Roland,
J'ai écouté, sur Radio Grand Ciel, l'émission "La route inconnue" consacrée à ton recueil "Petit itinéraire bis" ou "Paris port de songe", et c'est avec plaisir que j'ai entendu ta voix, ta voix en Poésie !
J'ai aimé les références aux "Petits poèmes en prose" de Baudelaire, à Hardellet, Follain, Nerval... à la foule de marcheurs, des écrivains dans Paris. En surface et en sous-sol, la mélodie est partout. Car, comme le dit Follain " Tout fait événement pour qui sait frémir !"
Et Paris a ce don.
" Paris semble à mes yeux un pays de romans " disait déjà Corneille que tu cites.
Et de Poésie !
La poésie teintée d'humour, du nom de ses rues, ses cris, ses bruits magnifiés par la musique de Janequin et ton recueil de haïkus calligrammés.
" Les cris de Paris... / Où êtes-vous, vieux métiers / que le vent ébruite ?"
Oui, une bien belle émission que ton ouvrage méritait grandement !
Avec mon amitié,
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Patrick Derouard |
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23/12/2024 01:25:11 |
Depuis notre dernière rencontre sur le chemin du Carrefour, j’ai réussi à lire ton "Petit Itinéraire bis", festina lente-ment, qui m’a désennuyé de ma mélancolie, sans être sûr d’en avoir goûté toute la substantifique moelle. C’est toujours un plaisir de te lire mais, trop fatigué pour écrire, je ne t’en dirai pas davantage.
Si ! J’ai beaucoup aimé, au verso de la couverture, la NOTICE ROLAND HALBERT et, en particulier, ta devise "Faire vite prend du temps." Et la question : "Pourquoi écrire sinon pour guérir" ? |
Bernard Maire |
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01/10/2024 14:54:00 |
J'avais tardé à me mettre à la lecture de ton livre -ta dédicace conseillait une lecture LENTE-: j'avoue que si j'ai pris mon temps pour le lire, je l'ai lu d'un coup.
Je suis agréablement surpris par la domination d'ensemble du sujet où tout semblait être dit et où tout est découverte ! Ce drone poétique nous permet de percevoir toutes les facettes
d'une ville historique et hystérique, voire histrionique...
Le Titi parisien fait pipi dans son coin !
Your brother (pas comme les machines à coudre !)
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Ph. |
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23/09/2024 16:34:49 |
Lecture recueil de Roland. Paris
Être invité à faire un tour à Partis à ta suite. Quelle bonne idée!
Je l’ai fait volontiers, j’ai laissé infuser, peut-être trop longtemps. Le goût
ne s’est pas laissé altérer, il a gardé sa saveur.
Dans ce Paris , pas de clichés mais des instantanés que le style du haïku
permet si bien. La correspondance fine entre les haïkus et les épigraphes
s’impose subtilement et contribue à la qualité de la lecture.
Pour moi c’est surtout la tristesse, la perte de l’identité, le danger et l’innocence qui se côtoient quand ce n’est pas la tragédie qui se profile avec l’évocation des seringues ou la rafle du Vélo d’hiv ..
« Vent de printemps » qui fait écho, pour moi, au journal du kamikaze... les voyageurs sans retour.
Malheurs durables....
Contraste aiguë entre la vie grouillante de La Défense, aux êtres sans visage, déshumanisés devenus insectes et l’oiseau furtif de la Butte aux cailles.
Quelles distances dans ces échelles de valeurs!
Au milieu de cet itinéraire, qui évacue le luxe habituel de Paris s’insinue le désarroi
du « pouet » qui ne trouve pas sa place au milieu de l’indifférence.
Heureusement, il y a, quelle surprise ! le chant insolite d’un grillon qui domine le fracas des machines. et laisse un mince espoir.
Personnes anonymes, visages effacés parmi des personnages inquiétants qui se résument à leur fonction comme « les Fleurs des Bitume » ou encore la Parisienne
que l’on devine belle mais réduite à ses jambes ou à son corps qui ondule.
Paris monde, tronqué, dangereux où seuls des éléments de nature font un peu respirer.
Vingt haïkus, c’est trop peu. Le lecteur/flâneur ne peut guère s’en contenter car
il sait qu’il y aurait tellement plus encore de pépites
Le 15/9/2024
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Fang à la Rocca Bianca |
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