Livre d'or
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29/08/2016 12:36:46 |
Cher Roland, Stimulé par notre rencontre à Monoprix, je me suis précipité sur "La Saison qui danse" que j'ai lu avec la curiosité, l'intérêt et le plaisir habituels que suscite tout ce qui provient poétiquement de ta plume. Pour moi, ce genre littéraire zigzagant est une découverte agréable. Quel travail - admirable !- pour rassembler et agencer toutes ces références érudites, anecdotes amusantes, voire truculentes, toutes ces recherches sur le japonisme de HTL, rapportées dans une langue souple, poétique et savoureuse. N'est-ce pas Boileau qui écrivait que "Sans la langue, l'auteur le plus divin est toujours, quoi qu'il fasse, un mauvais écrivain." Bon, ayant lu sur internet les commentaires intelligents de tes amis poètes qui ont à peu près tout dit mieux que je ne pourrais le faire, je n'ai plus qu'à me taire. sauf peut-être que, entre autres, j'ai beaucoup aimé les magnifiques dernières pages d'une intensité poignantes (j'oubliais le choix des illustrations !) ; ça suffira, n'est-ce pas, amas d'épithètes, mauvaises louanges ! Amicalement. |
Bernard Maire |
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23/08/2016 19:17:24 |
Sur "LA SAISON QUI DANSE" de Roland Halbert : Pour qui se nourrit seul des fruits de sa passion, des souvenirs glacés au vent des confusions, et sait ce qu'il y a de douleurs traversées dans une vie de créations, il faut rire avant trépasser, et danser, danser, danser, dans les claques et les bars louches, danser avec une mouche. Garder ce qu'on abat, sceller ce qui s'en va, Tom le grand cormoran, l'œil au vert malachite, Suzanne Valadon, huile et pierre noire sur toile, portrait de Vincent Van Gogh, pastel sur carton, Jane Avril, Yvette Guilbert... Et le CARNET NOIR de poursuivre, " en zigzags pour Toulouse Lautrec " la ronde d'une vie, du Moulin Rouge au vin des vignes, à la jambe longue des filles... Beau travail Monsieur Roland ! Tous ces instants portés, de tableaux en poèmes, à la pointe d'un haïku, ces pages acérées, secouées de folie, de voiles et de feu, c'est la vie d'une étoile et l'ami d'un crapaud que tu peins de ta plume, en maîtrise et brio ! Et si j'oublie des couleurs, des parfums et des brumes, tu les trouveras dans ces mots, qu'aux tiens je lie, et qu'avec mon Amitié je signe et je ponctue d'un grand BRAVO !
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Patrick Derouard, poète |
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17/08/2016 14:26:41 |
Cher Roland, je viens de lire ton livre : un bonheur ! Erudit, capiteux, canaille et mystique, un livre comme je les aime, un de ces livres de " haulte graisse " qu'appelait de ses voeux François Rabelais. Tu pratiques en virtuose l'alternance des genres : notes de carnet, prose lyrique, citations, haïkus. Un livre vibrant, plein d'énergie, sur l'Art, Lautrec, le haïku, la chair, la vie. C'est souvent impressionnant, jamais intimidant, car l'humour veille. Allons bon, voilà MON livre de la rentrée !
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Christophe Jubien, poète |
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12/08/2016 17:22:13 |
Il faut d'abord saluer le travail de l'éditeur. " La saison qui danse" est un beau livre, grand format, d'une centaine de pages avec une quarantaine d'illustrations en couleur et quelques-unes en noir et blanc. Un beau papier très blanc, épais, une couverture à rabats. Et cela pour un prix modique. Le travail d'édition se poursuit au coeur du texte de Roland Halbert avec les différents caractères qui épousent les strates du texte et ses nuances - jusqu'à l'impression de caractères japonais. " La saison qui danse ou carnet de zigzags pour Toulouse-Lautrec" est un " haïbun", c'est-à-dire " une prose poétique rythmée par des haïkus". Mais un haïbun libre qui ne s'enferme pas dans la loi du genre. Trois écritures se mêlent dans le livre : la prose poétique, des notes de lecture, brèves,avec citations, des haïkus. Chaque page développe une approche thématique et à travers les trois formes évoquées - parfois il n'y a pas de haïku ou que des haïkus. On parcourt ainsi l'itinéraire de Lautrec de l'enfance à la mort, accompagné en page de gauche par une de ses oeuvres, tableaux, esquisses, croquis. Les oeuvres les plus connues ne sont pas forcément au rendez-vous. En revanche on y trouve toutes sortes de travaux que, pour ma part, je vois pour la première fois. Et ce n'est pas le moindre mérite de ce livre : tant se contentent du déjà-vu, déjà assimilé. Le texte de " La saison qui danse" dégage une puissante originalité. On avance sans savoir ce qui va suivre, émerveillé par ceci, surpris par cela, intéressé par une note érudite. Car l'érudition s'allie à la poésie sans l'alourdir, l'équilibre tient. Voilà un livre qu'une seule lecture n'épuise pas. Quand on a lu les autres ouvrages de Roland Halbert comme " Blues pour Cadou", " Le Fleuve et le Rocher", " Le Parloir aux oiseaux, on observe une méthode de composition, d'exposition, avec des constantes mais variant avec son sujet, s'y adaptant souplement. Je n'ai pu me défaire en lisant "La saison qui danse" de l'impression que Roland Halbert n'a pas seulement écrit un livre en bâtissant cet ouvrage, mais qu'il construit une oeuvre. |
Christian Bulting |
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31/07/2016 18:37:25 |
A mon modeste mais sincère avis, « La Saison qui danse » est une œuvre d’une extraordinaire originalité,
l’expression d’une grande culture diversifiée et d’une rare sensibilité.
Plaisant à feuilleter, il fait sourire, rêver, voyager, apprendre, découvrir paysages ou situations insolites…
En dernière page, Toulouse-Lautrec ne serait-il pas sorti de sa tombe ?
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Olivia |
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