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Livre d'or

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01/10/2024 14:54:00
J'avais tardé à me mettre à la lecture de ton livre -ta dédicace conseillait une lecture LENTE-: j'avoue que si j'ai pris mon temps pour le lire, je l'ai lu d'un coup. Je suis agréablement surpris par la domination d'ensemble du sujet où tout semblait être dit et où tout est découverte ! Ce drone poétique nous permet de percevoir toutes les facettes d'une ville historique et hystérique, voire histrionique... Le Titi parisien fait pipi dans son coin ! Your brother (pas comme les machines à coudre !)
Ph.
 
23/09/2024 16:34:49
Lecture recueil de Roland. Paris Être invité à faire un tour à Partis à ta suite. Quelle bonne idée! Je l’ai fait volontiers, j’ai laissé infuser, peut-être trop longtemps. Le goût ne s’est pas laissé altérer, il a gardé sa saveur. Dans ce Paris , pas de clichés mais des instantanés que le style du haïku permet si bien. La correspondance fine entre les haïkus et les épigraphes s’impose subtilement et contribue à la qualité de la lecture. Pour moi c’est surtout la tristesse, la perte de l’identité, le danger et l’innocence qui se côtoient quand ce n’est pas la tragédie qui se profile avec l’évocation des seringues ou la rafle du Vélo d’hiv .. « Vent de printemps » qui fait écho, pour moi, au journal du kamikaze... les voyageurs sans retour. Malheurs durables.... Contraste aiguë entre la vie grouillante de La Défense, aux êtres sans visage, déshumanisés devenus insectes et l’oiseau furtif de la Butte aux cailles. Quelles distances dans ces échelles de valeurs! Au milieu de cet itinéraire, qui évacue le luxe habituel de Paris s’insinue le désarroi du « pouet » qui ne trouve pas sa place au milieu de l’indifférence. Heureusement, il y a, quelle surprise ! le chant insolite d’un grillon qui domine le fracas des machines. et laisse un mince espoir. Personnes anonymes, visages effacés parmi des personnages inquiétants qui se résument à leur fonction comme « les Fleurs des Bitume » ou encore la Parisienne que l’on devine belle mais réduite à ses jambes ou à son corps qui ondule. Paris monde, tronqué, dangereux où seuls des éléments de nature font un peu respirer. Vingt haïkus, c’est trop peu. Le lecteur/flâneur ne peut guère s’en contenter car il sait qu’il y aurait tellement plus encore de pépites Le 15/9/2024
Fang à la Rocca Bianca
 
01/07/2024 12:47:22
Bonjour Roland Après moult tâtonnements à la recherche de ton adresse mail, je viens enfin te rejoindre en ce début d'après-midi. Il y a bientôt 15 jours, j'ai reçu la visite de Hubert et Patricia. Ils m'apportaient, avec la joie de leur présence et d'un bon moment d'échanges de souvenirs et projets, un superbe cadeau dont je ne saurais épuiser le plaisir qu'il m'a procuré, puisque chaque lecture enrichit, "fait bouger" les précédentes. Allusions, contrastes, humour, ironie, vibrations variées... Jouer avec les sonorités D'un mot, faire surgir une époque, tout un art ! D'autres - surtout notre ami Hubert Bricaud - ont dit très bien tout le bien qu'ils pensent de ce petit chef-d'œuvre qu'est ce PETIT ITINERAIRE BIS. Je n'ai plus la force qu'il faudrait pour y ajouter décemment ma voix, mais j'ai encore assez de voix pour te dire merci! Et te souhaiter un bel été, malgré les turbulences tant météorologiques que socio-politico-je ne sais quoi. Que la poésie nous offre un abri, puisqu'elle veille au seuil d'un monde plus humain. A venir. Amicalement,
SMX
 
25/06/2024 06:47:42
A mon oncle Roland, Tes 25 haïkus sur Paris sont comme des petits bouts de croissant : délicats, irrésistibles et, toujours, un plaisir à les déguster ! Chacun d’entre eux capture l’essence de notre capitale avec une touche de malice et beaucoup de poésie. Merci pour ce voyage en haïkus où même la pluie parisienne semble danser en rythme avec tes vers !
Anthony dit Toto
 
05/06/2024 13:52:42
Cher Roland, J'ai parcouru ce "Petit itinéraire bis" je ne sais combien de fois avant de vous donner mon "ressenti". Tout me plaît dans votre recueil. unique en son genre : les encres de Jule Simon, la petite dédicace au grillon de la ligne 3, les épigraphes judicieusement choisies qui précèdent vos haïkus. Parmi mes haïkus préférés, celui du "cimetière Saint-Vincent" ou encore celui de "la Parisienne"(instant vécu pour moi). J'ignorais à quel point Gérard de Nerval était fou: pauvre Gérard, pauvre homard ! "Banlieue et bouts de cigares" : une pensée pour "la môme." Merci pour les "petites notes destinées au lecteur musardier". Cordialement,
Dominique Borée