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Livre d'or

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08/05/2025 19:50:34
Cela est vrai, en faisant papillonner votre « passion » (ah ! ces grands mots qui, seuls, savent prendre les petits chemins qui mènent au plus loin de nos attentes, de nos aspirations, de notre musique ineffable, elle qui ne prend pas note, elle qui chante au hasard de son cœur, de notre cœur, pour le seul chemin que nous devons mériter) alors, tout est dit, la « volière de vocables » selon votre merveilleuse expression, ouvre-t-elle tout l’espace du bonheur, ce tout petit papillon, lui aussi, que vous portez sur votre cœur pour son vol infini... Ce « parfum diagonal » (je vous donne mon petit « prix Nobel » pour cette invention) embaume tout l’espace, oui, parce que vous avez « l’âme emportée » comme l’avait écrit Romain Rolland à propos de notre cher « Ludwig van »… Vous-même, vous concluez « Page blanche réservée au lecteur bénévole-vole qui pourra compléter à son gré cette « volière de vocables » – ouverte et infinie ». Vous honorez bien votre lecteur, très cher ami, et je ne suis pas loin de penser qu’il le mérite, puisqu’il a en souvenir votre livre que l’éditeur, de surcroît, couronne d’une réalisation toute à la hauteur de votre envol d’homme libre.
Lucien Guérinel
 
06/05/2025 16:26:12
Voilà un bien beau livre que tu nous présentes en ce printemps 2025. De nombreuses années à butiner pour nous régaler de ce nectar... Les envolées des poèmes et des haïkus de « La Passion papillonne » ainsi que de la « Volière de vocables » sont magnifiquement illustrées. Les encres de Jule, qui volètent au fil des pages, apportent beaucoup de légèreté. L’autoportrait en papillon est saisissant de ressemblance. Bravo, Jule ! Le travail millimétré de Gérald des éditions Fraction est toujours très réussi. Félicitations à tous ! Depuis la lecture de ce livre, le soir afin de m’endormir, la tête légère, je ne puis m’empêcher de repasser en boucle les escapades champêtres de notre jeunesse. Le « vieux-chemin » a ma préférence ; il était bordé, de chaque côté, par des arbres : pommier, cormier, noyer ainsi que par d’épaisses haies avec de nombreuses fleurs... Les oiseaux et insectes ne pouvaient trouver mieux pour le gîte et le couvert. Le petit chemin ne sentait pas « la noisette » comme dans la chanson (bien qu’il y en eût), mais l’églantier, le sureau, l’aubépine et le genêt. C’est sûrement là que tu as vu « le Gazé de l’aubépine » faisant sa réserve de gaz naturel. Quant à la petite grotte au bout du chemin principal, il y avait des paroissiens pas très catholiques qui volaient nos bonnes Vierges ! Ah ! grand-mère, la pauvre, elle avait fort à faire avec nos hardes qui ne revenaient pas toujours indemnes de nos explorations. Elle les réparait en mettant des « tapons ». Aujourd’hui, 29 avril, il a fait chaud ; par deux fois, j’ai entendu le coucou et la huppe enfin ! et vu la première cétoine en habit d’académicienne, puis des papillons et, en soirée, des martinets. Je t’embrasse.
Tartine, ta soeur
 
01/05/2025 11:17:14
Je vous remercie très chaleureusement pour ce bel ouvrage. J'attendais d'avoir terminé la lecture pour vous remercier. J'ai parcouru l'essentiel de l'ouvrage, que j'ai beaucoup apprécié. Il est très agréable de passer d'un sujet à l'autre, "papillonner" donc, entre sourire, érudition, histoire et traditions. Un ouvrage sensible et léger (dans le bon sens du terme). Mais c'est aussi un bel objet, car un livre est aussi un objet. Il est beau, bien proportionné et mis en page de façon très originale. C'est une réussite ! Merci d'avoir eu la gentillesse de mentionner ma modeste contribution... et également l'existence du "papillon d'Orphée" dans le corps du texte.
Stéphane Lucas, vigneron, créateur du vin " le papillon d'Orphée"
 
27/04/2025 10:45:56
O merveille ! Erudit, aérien, succulent... Encore une fois, tu mets dans le mille. Merci infiniment de ce cadeau, cher Roland. Merci aussi d'avoir glissé ma petite note tremblante dans ce concert de printemps. Amitié.
Christophe Jubien, haïkiste, poète
 
25/04/2025 09:43:00
Je viens de lire ton magnifique livre "La Passion papillonne" suivi de "Volière de vocables". C’est une remarquable anthologie de vers et une savante entomologie de mots autour du papillon que tu nous livres là. Je suis épaté (pardon pour ce mot démodé, sorti d’un vieux tiroir) par ton travail, ton érudition et surtout par ta capacité à garder, au fil des pages, la légèreté du papillon. J’ai remarqué que l’ancien Mexique est bien présent dans ton livre et cela, dès la première de couverture ! Tout y est exact dans l'état actuel des connaissances et des recherches... Merci pour ta référence amicale à ma traduction du poème aztèque, la traduction qui est pour moi un signe d’amitié. J’espère que ton bel ouvrage, si finement illustré, si musicalement traduit et si somptueusement édité aura toute la reconnaissance qu’il mérite. Bien amicalement,
Patrick Saurin, spécialiste de la langue et de la culture aztèques