Livre d'or
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05/05/2012 18:54:07 |
Le premier mot qui me vient naturellement après avoir lu "Le Fleuve et le Rocher" est l'envie de vous dire : "Merci" - Mercis, car il y en a tant...
"Le Fleuve et le Rocher" est un ouvrage précieux, d'une beauté rare, un petit car tellement Grand Chef d’œuvre.
Après avoir refermé votre ouvrage, on savoure pleinement le privilège qu'il nous a été donné d'avoir fait cette Rencontre car votre livre nous transporte sur les rives de l'Authentique, de l'Essentiel, car chacun de vos mots, car chacune de vos phrases, si finement ciselée, nous transporte et nous Elève...
On est heureux lorsqu'on referme votre livre et on sait qu'on regoutera à ce bonheur si pur et si intense car on sait qu'on relira, encore et encore "Le Fleuve et le Rocher"...
Merci, cher Poète, d'avoir écrit cet ouvrage qui est une pure merveille...
N
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Nathalie Lelong |
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29/04/2012 23:26:39 |
Je viens, à l'instant, de lire votre merveilleux livre. Tout ce que j'aime y est. Il y a même Buffon en vers, et j'apprends que les cabosses de cacao venaient du Xoconochco, précieux renseignement pour moi qui aime par-dessus tout le mot "cabosse" et les Aztèques et aurais aimé connaître la langue nahua. Archéologue et marinier, voilà ce qu'il faut être, et vous le faites
bien. Merci de ma belle apparition (mais non, je ne fume pas, ou alors il ne faut pas le dire !)
Et quelle merveille que je sois si près dans vos pages de la petite mélodie à quatre timbres que j'ai tant aimée, et que vous me rappelez !
Et vous savez qu'Alain Barbetorte fait un passage éclair dans un de mes livres ?
Merci, cher Roland.
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Pierre Michon |
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17/04/2012 13:03:29 |
Quelle merveille, mon cher Roland, et quel chef-d'oeuvre que ce recueil ! A chaque page, on sourit et on fond. Il faut beaucoup de coeur et un immense talent pour atteindre à cette totale légèreté. J'ai cru me promener en montgolfière. C'est magnifique ! Je suis vraiment impressionnée et fière d'être de vos amis. |
Catherine Decours, écrivain, historienne |
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15/04/2012 11:00:12 |
Commençons par la première impression : c'est un livre qui sent bon. Je ne sais quelle encre utilise l'imprimeur d'Albi, quelle en est sa composition chimique mais respirer ce livre est un véritable bonheur. Ensuite la mise en page, savante, soignée, laissant libre cours, par ses différents caractères, aux nuances du texte. On pouvait attendre de celui-ci un beau texte sur la Loire : on a plus. Certaines approches d'un thème sont plates et donnent rarement de bons livres, à moins de faire de la platitude un style. D'autres approches sont obliques et peuvent produire des textes de qualité. Ici nous avons à faire à une saisie verticale du thème, tant par l'écriture que par l'abord historique du fleuve - verticalité du temps. Cela nous offre un livre original, érudit et accessible, où profondeur et surface se succèdent, où la langue d'hier, que l'on savoure, se mêle au langage d'aujourd'hui. Cette exploration de la Loire n'est pas sans rappeler celle du " Blues pour Cadou". Deux livres qui swinguent avec leur sujet sans le singer. Deux livres comme on n'en lit pas tous les jours qui sortent, s'exhaussent de la production poétique courante. Deux livres exigeants qui ont cette qualité des grands livres : la liberté. Liberté qui peut dérouter parfois, rend plus intelligent, plus vif, plus attentif au plus simple comme au plus complexe la plupart du temps. " Le Fleuve et le Rocher" est un livre qu'on n'a pas déjà lu cinquante fois. Il est singulier. L'auteur prend des risques et finalement gagne son pari : écrire de la bonne poésique autour de la Loire. Poésique qui échappe aux clichés et fait entendre un chant personnel. Que j'ai aimé et... senti. |
Christian Bulting |
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05/04/2012 12:51:22 |
S'il vrai que la Loire vous a déposé dans son estuaire, vous en remontez magnifiquement le cours, poète inspiré qui boit " à la source d'ardeur "... " dans les veines souterraines de l'enfance ". Quel premier coup magistral pour un livre ! Mais il faudrait citer tant de merveilles que ma lettre réécrirait votre almanach. Je ne lis pas, certes, tous les poètes d'aujourd'hui, mais cela ne m'empêche pas de vous considérer comme une haute figure de notre temps : vous devriez être chez Gallimard. Et je n'ai pas attendu, vous le savez bien, votre remontée de Loire pour avoir ce sentiment. |
Lucien Guérinel, compositeur |
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