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Signature de Roland HalbertExplication du sceau de l'artiste

Livre d'or

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27/07/2016 10:38:46
L'insecte s'étant envolé, je poursuis ce que je n'ai pu achever. Je serai brève. Depuis longtemps, à chaque nouvelle parution, j'ai remarqué qu'une certaine Madame de Montjean qui se prénomme aussi M. de la boutouchère ou encore Martine, dite "Dame Tartine" etc, est particulièrement intéressante, parce qu'elle semble bien connaître l'auteur qu'elle vouvoie au début et appelle Monsieur Halbert. Puis changeant de ton, elle ose lui reprocher des oublis et lui rappeler des souvenirs de jeunesse: ce n'est pas "n'importe qui!". Je pense qu'elle a la chance d'avoir une bonne muse qui lui enseigne même l'art du haïku: ce qui n'est pas donné à tout le monde... Un conseil: dans le doute, s'abstenir... Si vous en avez le loisir, prenez le temps de glaner dans ce site: vous verrez, cela en vaut la peine. Comme la mystérieuse dame, j'ai plusieurs noms, alors peut-être à une autre fois, quand je serai mieux équipée.
MTP
 
25/07/2016 16:43:11
La lecture de " La saison qui danse " m'a procuré un réel plaisir et, n'étant pas familier de Toulouse-Lautrec, beaucoup d'informations, souvent fort cocasses. Le style et le ton de votre ouvrage, l'esprit des haïkus, le rendent léger, vif, enjoué, et profond tout à la fois. Ces trente six esquisses tout en " zigzags " me semblent un portrait réussi ; il plaira certainement à " Monsieur Henri ". C'est un beau livre qui permet de mieux comprendre comment ce personnage imprévisible, grâce à son talent, à son humour, à ses bouffonneries, a métamorphosé un destin tragique en oeuvre d'art. De plus les reproductions y sont de qualité. Donc, compliments.
Jacques Lebrusq, peintre
 
25/07/2016 15:26:56
Mon ordinateur approchant de ses 80 ans, il est des jours où il refuse de fonctionner. Las! La canicule récente l'a presque achevé... Force m'est donc de laisser -pour un temps- sommeiller le dernier chef d'oeuvre de l'écrivain Roland HALBERT qui nous fait le magnifique cadeau de son "carnet de ziggags pour Lautrec". Je vous avais dit: "je l'attends avec gourmandise!" Mais chaque jour, je déguste sur son site "le Livre d'or". Ce cher Roland mérite, plus qu'on ne saurait le dire, ces nombreux messages d'amis, d'écrivains, le récompensant -un peu- de ces "1000 jours d'entraînement pour forger et 10000 jours d'entraînement pour polir" Cf p. 19, sous la fournaise ou dans la morsure du froid de son "Atelier aux Oiseaux"!. Que de fois n'y ai-je pas pensé! Certains passages "volent très haut" comme, "La saison qui danse", d'autres sont plus accessibles, mais dans leur variété, tous reconstituent les riches facettes de l'oeuvre et de son auteur. Il en est qui attisent ma curiosité: Pour aujourd'hui "c'est bien suffisant". Mon ordinateur fait l'objet d'un "bug informatique".
M. TH. P.
 
21/07/2016 19:47:29
Cher Roland, C'est depuis le C.L.R.J. (« Club des Lecteurs Repasseurs au Jardin ») devenu mon club préféré où faignanter, et après lecture de "Note de l'éditeur" sur ton site, que je t'adresse ces quelques lignes. Donc, merci à Gérald pour sa large vision de ton œuvre et en situant "La Saison qui danse ou Carnet de zigzags pour Lautrec" dans le remarquable ensemble de tes huit recueils édités chez FRAction. D'évoquer, aussi, la précieuse collaboration de l'imprimeur et de la graphiste, petites mains déterminantes dans la mise en forme technique et esthétique de ton travail. Oui, titanesque ton travail au regard de toutes les sources citées où a puisé ton inspiration tisonnée, elle aussi, sous le feu accablant – ou le gel mordant – des toits nantais, forgeant "à grand renfort de marteau, d'enclume / et de métaux battus..." Si elle ouvre ton recueil p. 4O-41, la conservatrice du musée d'Albi ne s'en remettra pas ! Pour tous les éclopés et contrefaits de la vie, artistes, filles de joie et mendiants, un bel hommage à Lautrec ! Je t'embrasse.
Odile L.
 
17/07/2016 09:02:13
Je reconnais qu’il y a beaucoup à dire sur ce livre superbement réalisé. Mais mon ordinateur de bientôt 70 ans, il lui faut du temps pour se mettre en route. A part son nom et son statut de peintre, je ne connaissais rien de Toulouse-Lautrec. D’ailleurs, excepté en pain perdu, en poireaux et en patates, en quoi je m’y connais ? Je découvre donc, grâce à toi, le personnage un peu raté physiquement, qui me fait penser au vilain petit canard faisant honte à sa famille et qui est plutôt rejeté. Evidemment, le canard va se transformer, alors que Toulouse-Lautrec (lire en roulant les « r ») va plutôt aller en folaillant (je ne sais pas si ça s’écrit comme ça). Le bougre m’a l’air assez fêtard, ne lésinant ni sur la liqueur ni sur d’autres divertissements. Dans ce livre, on apprend beaucoup de choses, et les haïkus que tu y insères avec tant de justesse lui donnent un relief très plaisant. J’ai aussi remarqué que tu parles du clown Chocolat, alors que justement vient de sortir un film sur lui ; c’est comme ton livre sur François d’Assise qui paraît au moment où le pape François est élu. Je te mets un petit haïku qui me fait ressasser notre absente : « Depuis février, / il manque une corde à mon arc / qui me l’a chipée ? »
Martine, dite Tartine.