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Signature de Roland HalbertExplication du sceau de l'artiste

Livre d'or

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29/11/2016 15:57:53
Encore Bravo et merci Roland pour La Saison qui Danse. Une si belle découverte lors de sa parution.Un beau livre d'Art,Unique pour Toulouse-Lautrec, mêlant poésie et peinture et SURTOUT un plaisir toujours renouvelé. ZIGZAGUER sans cesse et sans cesse...relire un texte, revoir une photo. Toujours la même émotion, le même enchantement. Mais comme chaque parution de Roland HALBERT. ""Pour tout compagnon, j'ai mon serin jaune..."" et non "J'ai La Saison qui Danse" (La Becquée du haîku - 2013) Et quel merveilleux cadeau à offrir en cette fin d'année 2016 ""Au pied du sapin les Rois Mages se chamaillent ..."" pour "La Saison qui Danse" et non pour "la Nintendo" (Roue des cinq saisons - 2011). A bientôt Roland.
Maguy
 
10/11/2016 19:53:34
Monsieur, > Quand je faisais mes premiers pas sur le chemin du haïku et découvrais vos articles - notamment "Le haïku selon Jaccottet" qui cloue le bec aux contempteurs - je n'imaginais pas qu'un jour l'un d'eux me concernerait. Et quel article ! > Ainsi je n'ai pas fait fausse route. Je fais doucement rire mes voisins de jardin quand je suis là à photographier une fleur ou à suivre le vol des oiseaux. J'avais peur que mes haïkus ne paraissent trop naïfs. Que quelques personnes les apprécient en dehors de mon cercle amical me touche beaucoup. Vous devez savoir mieux que moi que ce genre d'encouragement aide à continuer. > De tout coeur, merci. > Avec mes très sincères salutations. >
Marie-Louise Montignot, haïkiste
 
01/10/2016 22:37:13
Rarement amateur de peinture – je préfère cette expression au terme de « critique » – a su nous faire toucher aussi intimement la chair de la peinture, une chair sensible, résistante, attachante, curieuse, téméraire, drôle, écorchée. Roland Halbert nous entraîne avec lui dans l’intimité du peintre, mais sans indiscrétion, en toute complicité d’esprit et connivence de cœur. Dans La saison qui danse, ce n’est pas seulement la peinture qui sort prendre l’air, mais avec elle le peintre et son inventeur en la personne de Roland Halbert, inventeur comme on l’entend pour désigner celui qui a découvert une grotte. Cher Roland, merci pour ce beau livre d’heures et d’heurts de la vie de peinture de Toulouse-Lautrec.
Patrick Saurin
 
29/09/2016 15:18:35
Avec "La saison qui danse", le lecteur est bien loin des ouvrages traditionnels, linéaires et tristes style " Mr X, Sa vie, Son œuvre"; et ceci pour au moins une bonne raison: le livre de R. Halbert est en soi une œuvre magistrale d'une poésie lumineuse, d'une stupéfiante érudition. La lecture bondit en zigzags dans un chahut d'images fulgurantes, sonores parfois,colorées toujours, images que l'on boit cul sec ou que l'on savoure à petites gorgées, longues en mémoire. Des visites jubilatoires, des rencontres inattendues " dans l'atmosphère baignée de l'odeur et des nerfs de femme", le Japon en toile de fond, l'iconographie à main gauche. L'œuvre est un grand bonheur et doit être lue autant pour tout ce que l'on apprend sur Toulouse-Lautrec que pour son écriture superbe de poésie.
Gilles Auguin
 
28/09/2016 18:08:22
Cher Roland, Quelle merveille que ton Lautrec! Telle une précieuse mécanique Suisse démontée, ton ouvrage nous livre les secrets bien cachés de "monsieur Henri", secrets augmentés d'arguments poétiques tressés de tous tes talents. Nous découvrons, nous adorons... Pauvre Henri!.. La grande conservatrice des archives éternelles qui lui nie à jamais son métier! Lautrec sans profession? La bonne blague! Avec six volumes de catalogue raisonné au cul. Le géant de Montmartre peut dormir en paix.
Patrick Guéguen, peintre