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Signature de Roland HalbertExplication du sceau de l'artiste

Livre d'or

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27/12/2009 10:50:16
Ma belle-soeur est passée, ce 25 de décembre, et j'ai eu un merveilleux cadeau de Noël, un livre d'un poète que je connais bien, mais dont je découvre la "poésique"! Ces élans de mots en musique d'aqua qui se déclinent en portées de clé do et se dessinent en escalier qu'on descend pour mieux accéder au sommet de l'art. De pages en pages, de lignes en lignes, je découvre d'autres rives rythmiques vers un monde inconnu de "poétite" cette maladie incurable qui enflamme l'âme. Je n'arrête pas de te lire, de te relire, essayant en vain, encore, de pénétrer la vie, le trait infini que ta main donne à ton stylo dont la plume d'encre fine effleure le papier comme la caresse d'amour. Mon vieux pote, j'ai une admiration totale pour ton oeuvre qui m'entraîne dans un désarroi. Quand serai-je atteint de ton virus inné? Jamais. Il ne s'agit même plus de mots, c'est un vol d'anges silencieux qui nous confinent dans le velours et retiennent notre souffle... On lit en apnée. On retient la page. On revient au début, puis la voix se réveille, les amis se taisent. On est obligé de redire. La "poésique" se déclame, en lien, en rupture, et à la fin, les regards se croisent, emportés dans un ailleurs... ton monde qui m'intrigue.
Alain Legoin, haïkiste
 
21/12/2009 10:12:36
Écrit il y a 25 ans,"Danse de terre" ne dément rien de la démarche d'homme et de poète de Roland Halbert dans une émouvante incantation faite à la Terre en qualité de mémoire de l'Histoire de l'homme d'un infini à l'autre. Roland Halbert s'y fait le subtil interprète de l'incontournable questionnement humain et de sa volonté d'immortalité. L'ouvrage émeut en ce qu'elle révèle la voix de tout homme mais n'est-ce pas là la caractéristique de toute l'œuvre de R.H. ?
Marie Népote
 
20/12/2009 17:46:58
Ah! monsieur Halbert, comme vous savez bien nous enjoliver les Mauges avec votre talent.Sûr dis!, que la mémoire grésille,ne le prenez pas mal, mais vous auriez pu dire un mot sur mon village de la Boutouchère, certes moins célèbre que Saint Florent et son poète.Ca vous aurait couté beaucoup de dire que le "carrier du coin" était de la Boutouchère, et aussi que "la rielle" fait partie de cette même commune? Enfin, passons, peut-être une autre fois vous en parlerez.Quant au Long-Douët, faut que je vous dise, que dans les années 50-60, j'y suis allée plusieurs fois, à pied par le bas, voir votre tante Ernestine.Ca va lui faire plaisir, c'est sûr, quand je vais lui raconter ça.J'irais la voir pour la bonne année, et je lui lirais tout votre livre. La pauvre! elle ne se déplace plus guère, n'écrit plus du tout, mais a gardé toute sa tête, c'est le principal! Sur ce, je vous adresse mes félicitations, mais salutations et à vous revoir, monsieur Halbert.
M. de la Boutouchère
 
20/12/2009 13:13:58
Un bel hommage à une région si chère à l'Auteur et à Julien Gracq, une belle "ballade" sur la Loire au cours de laquelle l'ouïe, l'odorat, la vue et le toucher nous ont accompagnés! Un beau cours de géographie avec de la poésie... poésique! "Et c'est bien suffisant" pour nous transporter dans un lieu magique, avec des mots magiques, remplis de magie!
Mary et JLuc
 
17/12/2009 12:58:22
Me croiras-tu si je te dis que je suis sorti un peu ivre de mes deux visites dans ton grenier à sel? Souvenirs de Gracq, herbes fortes des Mauges, limons blonds du Fleuve et j'en passe. Le tout foulé, pressé, filtré, alambiqué jusqu'à donner cet alcool poétique, ce goutte-à-goutte, ce mot-à-mot, ce concentré, ce condensé, cette fleur... Bref, j'ai aimé, notamment ces merles marchant "de haie en haie, sur leurs pattes d'aubépine".
Jean-Michel Logeais