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Livre d'or

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04/04/2019 12:27:25
Je remercie M.Th. de m'avoir prêté ce merveilleux ouvrage. L'essentiel est dit avec beaucoup de pudeur. Je vous souhaite de pouvoir écrire d'autres livres de cette grande qualité.
Patricia Giustiniani
 
24/03/2019 11:23:27
Bonjour, Je me permets ce petit mot concernant ton dernier livre... que j'avais récupéré par Martine (de la Boutouchère) et que j'avais, il faut l'avouer, laissé de côté. La qualité et la domination technique des textes sont exceptionnelles... les peintures aussi. L'humour est aussi présent que l'ambiance est pesante : la description de l'environnement nous fait pratiquement ressentir l'odeur chaude et lourde de l'alcool et de l'éther : d'où l'expression: "J'aimerais autant "ETER" aux noces et point danser !" Entre nous, j'ai vraiment rigolé sur un sujet grave et presque tourné en dérision.
Philippe Halbert, dit Jules l'Ancien et son orchestre
 
16/02/2019 17:45:02
Cher Roland, "L'Été en morceaux" m'a beaucoup impressionné par la rigueur métrique des haïkus, la précision, l'humour... On comprend, d'ailleurs parfaitement, ce que vous avez pu vivre et comment ces écrits ont eu un rôle salvateur.
Bruno Ducol, compositeur
 
31/01/2019 12:50:09
Avec beaucoup de retard, voici enfin ma petite contribution. J'ai lu "L'Eté en morceaux" la première fois durant l'été. L'autodérision, l'humour, le détachement, la poésie enveloppaient l'hospitalisation. Et je pensais " Si seulement j'étais, moi aussi, capable de dérision face à l'adversité"!!! (exemples: " La viande est dans le torchon", l'ecchymose comme Body Art, éplucher les asperges en guise de sport ! etc.) J'ai relu le livre. J'avais mal lu. Derrière la légèreté des haikus la douleur est intense, mordante. " Je pisse un bouquet de barbelés " n'est pas une image, une heureuse trouvaille, c'est un cri de douleur et de solitude. Il nous reste à apprendre les leçons de patience du lierre rampant.
Gilles Auguin
 
11/01/2019 17:41:51
Comment te dire que, pour ne pas changer, je suis admiratif ? Admiratif à la fois de ton travail, mais plus encore de comment tu sembles avoir vécu cette période de ta vie. Ces petits poèmes sont tellement emplis de vérité. Je ne te cache pas que, parfois, ce fut oppressant de les lire, tellement ils sont vrais, vivants ! Et dans ce milieu hospitalier, l'air est parfois difficilement respirable, surtout en été caniculaire. J'ai parfois suffoqué d'empathie ! Et puis, j'ai souvent souri, à ces mots, cette poésie, parfois sortie d'on ne sait où ; à ces moments vécus, même si certains ont dû être durs. Dans ton recueil, on voyage de pièce en pièce, de lieu en lieu, d'univers en univers avec le malade que tu as été, le souffrant à l'âme divagatrice. Passereau l'on se fait pour, de saison en saison, picorer tes haïkus écrits à la volée. Merci. "Le poète écrit /des haïkus à la volée /- Si belles semailles !"
Benoît Terrien