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Livre d'or

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19/01/2010 16:58:54
Je ne t'ai pas encore félicité, mais ton "Grenier à sel" est formidable. Je l'ai lu tranquillement, à chaque fois, le soir. Un peu à la manière d'un enfant qui retrouve avec plaisir, une fois la famille endormie, un livre caché sous les draps.
Patrick Gueguen, peintre
 
18/01/2010 14:07:01
Enthousiasme semblable à une musique qui nous requinque, pleine de saveurs subtiles, d'émotions intimes qui dégourdissent le passé, enthousiasme de l'anima tonifiée ! Vos vers me seront de durables amis.
Jean Regnery, organiste, Evreux
 
31/12/2009 13:38:39
Je viens de me régaler avec l'article de Vincendeau qui brosse brillamment un tableau juste et précis autant de l'œuvre que de l'auteur ! Une référence et une introduction éclairée pour qui veut découvrir et pénétrer votre œuvre.
Marie Népote
 
31/12/2009 09:04:54
Je remercie le Ciel d'être insomniaque quand, vers quatre heures du matin, il m'est donné de lire un livre comme ce "Grenier à sel" qui nous fait voyager parmi des paysages admirables comme toute oeuvre de Julien Gracq. Merci de l'avoir écrit. Que l'année qui vient te soit limpide, légère, amicale. Mon amitié fidèle,
Serge Wellens, poète
 
27/12/2009 10:50:16
Ma belle-soeur est passée, ce 25 de décembre, et j'ai eu un merveilleux cadeau de Noël, un livre d'un poète que je connais bien, mais dont je découvre la "poésique"! Ces élans de mots en musique d'aqua qui se déclinent en portées de clé do et se dessinent en escalier qu'on descend pour mieux accéder au sommet de l'art. De pages en pages, de lignes en lignes, je découvre d'autres rives rythmiques vers un monde inconnu de "poétite" cette maladie incurable qui enflamme l'âme. Je n'arrête pas de te lire, de te relire, essayant en vain, encore, de pénétrer la vie, le trait infini que ta main donne à ton stylo dont la plume d'encre fine effleure le papier comme la caresse d'amour. Mon vieux pote, j'ai une admiration totale pour ton oeuvre qui m'entraîne dans un désarroi. Quand serai-je atteint de ton virus inné? Jamais. Il ne s'agit même plus de mots, c'est un vol d'anges silencieux qui nous confinent dans le velours et retiennent notre souffle... On lit en apnée. On retient la page. On revient au début, puis la voix se réveille, les amis se taisent. On est obligé de redire. La "poésique" se déclame, en lien, en rupture, et à la fin, les regards se croisent, emportés dans un ailleurs... ton monde qui m'intrigue.
Alain Legoin, haïkiste