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Signature de Roland HalbertExplication du sceau de l'artiste

Livre d'or

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18/05/2013 16:02:03
"le parloir aux oiseaux": nous sommes émerveillés par les vers et la prose! Et ces noms d'oiseaux qui volettent tout au long des pages et nous accompagnent même une fois le livre fermé! Merci pour ce beau voyage que tu as tellement su nous faire partager, Délicieux!
Mary et Jean-Luc
 
16/05/2013 13:11:21
Félicitations, cher Roland, pour tes deux livres, celui des haïkus en dit si long en si peu de mots ! S'il fallait choisir un haïku, je crois que je prendrais celui sur les martinets, peut-être parce qu'ils ne sont pas là longtemps pour "repeindre le ciel". Félicitations aussi pour l'énorme travail que représente "Le Parloir aux oiseaux". On suit bien le pèlerinage que tu as fait à Assise et dont tu nous traduis en beauté les émotions. Si tu ne sais pas prier, tu sais écrire et nous apporter beaucoup de plaisir à travers ces Chantelettres. Merci et sois fier de ton travail; c'est tout simplement sublime!
Martine M.
 
14/05/2013 21:04:04
Votre "Parloir aux oiseaux" est un régal, merci, et votre dédicace me remplit de joie. Chez moi, deux mésanges charbonnières ont élu domicile dans un nichoir qu'on leur a fabriqué. Je ne sais si elles vont à la Banque Postale, mais si tel est le cas, elles y vont beaucoup et en zinzinulant beaucoup. Eh oui !... je les entends tintiner : "C'est Huit, c'est Huit, c'est Huit..." Croyez-vous qu'elles essaient de m'annoncer qu'elles ont fait huit bébés et qu'il leur faudra beaucoup de sous pour élever tout ça ? Au moins "Sept écus, sept écus, sept écus"? Avec toute mon admiration et bien amicalement.
Ghislaine Rouze
 
09/05/2013 13:17:34
Il me faut, cher Roland, pour approcher chacune de vos œuvres, une journée de solitude et de silence. "Silentium" annonce sur sa belle couverture, "Le Parloir aux oiseaux". Et voilà que la solitude s'efface devant François, révélé par votre poésie vibrante d'émotion sincère, de spiritualité lumineuse. Cependant, votre humour ne manque pas, à travers les facéties verbales dont vous êtes coutumier, de nous rappeler à l'humilité de la condition humaine : au parfum de l'encens se mêle l'odeur de l'huile solaire et Charon côtoie Lagerfeld. Tout y est de la vie de François, mais en subtils effleurements, car la poésie s'accommoderait mal, sans doute, du didactisme. Et voilà que le silence s'emplit du chant des oiseaux (qu'il s'agisse de "poésique" ou de "chantelettres" tout est musique dans votre écriture), d'une foule d'oiseaux aux noms évocateurs sur divers registres – Évocation appuyée tout en légèreté grâce au recueil judicieusement associé, dont la belle couverture, une fois encore, illustre pleinement le titre "La Becquée du haïku"– Surprise (mais ne s'agit-il pas de "parloir") : ce sont des oiseaux qui parlent ! Comment ne pas avoir le cœur en fête à la lecture de mimmologismes patiemment collectés, on l'imagine. Puis, passer du sourire aux larmes (oserai-je l'avouer ?) avec la supplique désespérée que vous adressez au saint pour clore votre poème ; émouvant écho à l'étrange aspiration qui fait s'agenouiller l'incroyant. Depuis combien d'heures suis-je en compagnie des oiseaux, de François, de Roland Halbert ? Peu importe, "Le jour ne compte plus ses heures canoniales et plumeuses". Merci est un mot bien faible pour vous dire ce que votre poésie me donne de bonheur.
Marie Népote
 
09/05/2013 09:13:43
Salut Roland, je te dois quelques nouvelles après mes visites de ton Parloir. Elles m'ont enchanté et ému. L'artisan ès poésique du 3 rue Fanny-Peccot a dû travailler dur. À l'abri de son gréement grenier, il a fabriqué pour « Monsieur sainct Françoys » cette poésie pas si "minime" que cela. Est-ce cela la poésique ? Cette tentative de tout rassembler : mots, dessin, musique, descriptions, haïkus, références, citations... Comme un objet inouï qui dirait tout en si peu d'espace, en peu de temps. J'ai aimé, tu t'en doutes, tes litanies mimologiques. J'ai aimé ta déclinaison de ces noms d'oiseaux des contrées lointaines. Imaginons, un instant, un monde sans oiseaux. Invivable pour autant que c'est sur leurs ailes que notre esprit échappe à la pesanteur qui chaque instant le menace. J'ai aussi beaucoup appris en visitant ce Parloir. Sur François, sur les poètes (dont certains que je ne connais pas ou mal), les musiciens, sur toi-même... C'est aujourd'hui que j'ai pensé à Ravel et aux « Oiseaux tristes » de ses « Miroirs » mais aussi au lever du jour de la 2e suite de « Daphnis » si ornithologique. Merci encore pour ces « acouphènes de taffetas », ce « caillot de mots », ces « longs anges lissés de registres », cet « abreuvoir aux cancres »... et toutes ces trouvailles qui réveillent nos vieux mots assoupis. Demain peut-être, si le soleil nous fait l'aumône d'une apparition, entendras-tu depuis ta chambre de poète, la cohorte hysssssstérique des martinets ? Ils sont l'été. Amicalement,
Jean-Michel Logeais