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Livre d'or

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17/08/2016 14:26:41
Cher Roland, je viens de lire ton livre : un bonheur ! Erudit, capiteux, canaille et mystique, un livre comme je les aime, un de ces livres de " haulte graisse " qu'appelait de ses voeux François Rabelais. Tu pratiques en virtuose l'alternance des genres : notes de carnet, prose lyrique, citations, haïkus. Un livre vibrant, plein d'énergie, sur l'Art, Lautrec, le haïku, la chair, la vie. C'est souvent impressionnant, jamais intimidant, car l'humour veille. Allons bon, voilà MON livre de la rentrée !
Christophe Jubien, poète
 
12/08/2016 17:22:13
Il faut d'abord saluer le travail de l'éditeur. " La saison qui danse" est un beau livre, grand format, d'une centaine de pages avec une quarantaine d'illustrations en couleur et quelques-unes en noir et blanc. Un beau papier très blanc, épais, une couverture à rabats. Et cela pour un prix modique. Le travail d'édition se poursuit au coeur du texte de Roland Halbert avec les différents caractères qui épousent les strates du texte et ses nuances - jusqu'à l'impression de caractères japonais. " La saison qui danse ou carnet de zigzags pour Toulouse-Lautrec" est un " haïbun", c'est-à-dire " une prose poétique rythmée par des haïkus". Mais un haïbun libre qui ne s'enferme pas dans la loi du genre. Trois écritures se mêlent dans le livre : la prose poétique, des notes de lecture, brèves,avec citations, des haïkus. Chaque page développe une approche thématique et à travers les trois formes évoquées - parfois il n'y a pas de haïku ou que des haïkus. On parcourt ainsi l'itinéraire de Lautrec de l'enfance à la mort, accompagné en page de gauche par une de ses oeuvres, tableaux, esquisses, croquis. Les oeuvres les plus connues ne sont pas forcément au rendez-vous. En revanche on y trouve toutes sortes de travaux que, pour ma part, je vois pour la première fois. Et ce n'est pas le moindre mérite de ce livre : tant se contentent du déjà-vu, déjà assimilé. Le texte de " La saison qui danse" dégage une puissante originalité. On avance sans savoir ce qui va suivre, émerveillé par ceci, surpris par cela, intéressé par une note érudite. Car l'érudition s'allie à la poésie sans l'alourdir, l'équilibre tient. Voilà un livre qu'une seule lecture n'épuise pas. Quand on a lu les autres ouvrages de Roland Halbert comme " Blues pour Cadou", " Le Fleuve et le Rocher", " Le Parloir aux oiseaux, on observe une méthode de composition, d'exposition, avec des constantes mais variant avec son sujet, s'y adaptant souplement. Je n'ai pu me défaire en lisant "La saison qui danse" de l'impression que Roland Halbert n'a pas seulement écrit un livre en bâtissant cet ouvrage, mais qu'il construit une oeuvre.
Christian Bulting
 
31/07/2016 18:37:25
A mon modeste mais sincère avis, « La Saison qui danse » est une œuvre d’une extraordinaire originalité, l’expression d’une grande culture diversifiée et d’une rare sensibilité. Plaisant à feuilleter, il fait sourire, rêver, voyager, apprendre, découvrir paysages ou situations insolites… En dernière page, Toulouse-Lautrec ne serait-il pas sorti de sa tombe ?
Olivia
 
27/07/2016 10:38:46
L'insecte s'étant envolé, je poursuis ce que je n'ai pu achever. Je serai brève. Depuis longtemps, à chaque nouvelle parution, j'ai remarqué qu'une certaine Madame de Montjean qui se prénomme aussi M. de la boutouchère ou encore Martine, dite "Dame Tartine" etc, est particulièrement intéressante, parce qu'elle semble bien connaître l'auteur qu'elle vouvoie au début et appelle Monsieur Halbert. Puis changeant de ton, elle ose lui reprocher des oublis et lui rappeler des souvenirs de jeunesse: ce n'est pas "n'importe qui!". Je pense qu'elle a la chance d'avoir une bonne muse qui lui enseigne même l'art du haïku: ce qui n'est pas donné à tout le monde... Un conseil: dans le doute, s'abstenir... Si vous en avez le loisir, prenez le temps de glaner dans ce site: vous verrez, cela en vaut la peine. Comme la mystérieuse dame, j'ai plusieurs noms, alors peut-être à une autre fois, quand je serai mieux équipée.
MTP
 
25/07/2016 16:43:11
La lecture de " La saison qui danse " m'a procuré un réel plaisir et, n'étant pas familier de Toulouse-Lautrec, beaucoup d'informations, souvent fort cocasses. Le style et le ton de votre ouvrage, l'esprit des haïkus, le rendent léger, vif, enjoué, et profond tout à la fois. Ces trente six esquisses tout en " zigzags " me semblent un portrait réussi ; il plaira certainement à " Monsieur Henri ". C'est un beau livre qui permet de mieux comprendre comment ce personnage imprévisible, grâce à son talent, à son humour, à ses bouffonneries, a métamorphosé un destin tragique en oeuvre d'art. De plus les reproductions y sont de qualité. Donc, compliments.
Jacques Lebrusq, peintre