Livre d'or
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11/09/2016 17:34:16 |
La lecture de "La Saison qui danse" me ravit: quelle érudition! Et la forme est bluffante. Iconographie incroyable. Encore tous mes compliments !
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Norbert Marsal |
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08/09/2016 12:03:17 |
Magnifique chorégraphie à l’érudition primesautière, cette « Saison qui danse » requiert l’œil, le cœur et la pensée. Un savant jeu d’éclairages dessine le portrait d’un artiste cocasse et touchant, facétieux, même post mortem.
On savait Toulouse-Lautrec influencé par le Japon; c'était au goût du jour. Mais le japonisme de Lautrec est une intime manière d’être au monde. Par touches successives, jamais appuyées, démonstration nous en est faite.
Le peintre, comme le poète, sait se faire forgeron (les coups de marteau rythment les envolées lyriques, font jaillir les étincelles), mais aussi chocolatier, bouffon, "barman aux cent shakers", entre autres. Il note, croque, hume, goûte, ne craint pas de s’encanailler, ni, à l’occasion, de ramer ou galoper en chambre, car des exercices naît sa dextérité déconcertante, la spontanéité, l’apparente facilité. On sent le poète R.H. de pleine connivence avec le peintre HTL.
"Monsieur Henri" n’était pas un saint, il est pourtant traité ici avec la même tendre fraternité que le François d’Assise du "Parloir aux oiseaux". Merci, Roland, de nous faire partager tes affinités électives. Et bravo !
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Françoise David-Schaumann |
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04/09/2016 12:07:49 |
P. / H. L’accouplement des deux P - Peinture et Poésie - nous réserve de belles surPrises.
Entre la France et le Japon, Roland Halbert cueille les fleurs d’une « Saison qui danse » (sous
le Pinceau Prodigieux de Toulouse-Lautrec).
Trois H nous élèvent au ciel : Henri de Toulouse-Lautrec et Roland Halbert, portés
par le Haïku, vous invitent à la danse.
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Gaston Bouatchidzé, poète |
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03/09/2016 15:32:26 |
« 1000 jours …pour forger » « 10 000 jours …pour polir » ; mon ami Roland note, trace, découpe, ajuste, forge et polit dans ses carnets 10 000 mots aux effluves de fleurs et 1000 verbes au destin savoureux .
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l'habitant de Sale Village |
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29/08/2016 12:36:46 |
Cher Roland, Stimulé par notre rencontre à Monoprix, je me suis précipité sur "La Saison qui danse" que j'ai lu avec la curiosité, l'intérêt et le plaisir habituels que suscite tout ce qui provient poétiquement de ta plume. Pour moi, ce genre littéraire zigzagant est une découverte agréable. Quel travail - admirable !- pour rassembler et agencer toutes ces références érudites, anecdotes amusantes, voire truculentes, toutes ces recherches sur le japonisme de HTL, rapportées dans une langue souple, poétique et savoureuse. N'est-ce pas Boileau qui écrivait que "Sans la langue, l'auteur le plus divin est toujours, quoi qu'il fasse, un mauvais écrivain." Bon, ayant lu sur internet les commentaires intelligents de tes amis poètes qui ont à peu près tout dit mieux que je ne pourrais le faire, je n'ai plus qu'à me taire. sauf peut-être que, entre autres, j'ai beaucoup aimé les magnifiques dernières pages d'une intensité poignantes (j'oubliais le choix des illustrations !) ; ça suffira, n'est-ce pas, amas d'épithètes, mauvaises louanges ! Amicalement. |
Bernard Maire |
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